Numero di utenti collegati: 4124

libri, guide,
letteratura di viaggio

22/11/2024 05:24:25

benvenuto nella libreria on-line di

.:: e-Commerce by Marco Vasta, solidarietà con l'Himàlaya :::.

Les bergers du Fort Noir

Nomades du Ladakh (Himalaya Occidental)

Dollfus Pascale


Editeur - Casa editrice

Publications de la Société d'ethnologie, Nanterre

  Asia
India
Ladakh
Himalaya

Anno - Date de Parution

2012

Pagine - Pages

344

Titolo originale

Les bergers du Fort Noir. Nomades du Ladakh (Himalaya Occidental)

Lingua originale

Lingua - language - langue

fra


Les bergers du Fort Noir  

Kharnak, "il Forte Nero", è il nome di una delle tre comunità nomadi del Ladakh, ex regno himalayano situato a nord della penisola indiana. Questi allevatori di yak, capre e pecore vivono a più di 4.200 metri sul livello del mare ai margini dell'altopiano tibetano.
Il volume è il risultato di molti soggiorni tra il 1993 e il 2010,. L'autrice analizza come questa società pastorale pensa, occupa e definisce ciò che chiama il suo "paese": uno spazio con confini sfocati, centrato su un monastero buddhista e circondato da montagne, palazzi di divinità protettrici.
Le pagine delineano la storia di pastori nomadi che non sono sempre stati tali e che presto non saranno più. In quindici anni, la comunità ha perso oltre l'ottanta per cento della sua popolazione che, desiderosa di beneficiare delle strutture del mondo moderno, si è trasferita nella città di Leh. Questo libro è quindi, di per sé, la testimonianza di uno stile di vita, ma anche di conoscenza e know-how che scompaiono.

 


Recensione in altra lingua (Français):

Kharnak, « le Fort Noir », ainsi se nomme l'une des trois communautés nomades du Ladakh, ancien royaume himalayen situé au nord de la péninsule indienne. Éleveurs de yaks, de chèvres et de moutons, ses habitants vivent à plus de 4 200 mètres d’altitude aux confins du plateau tibétain.
Fruit de nombreux séjours effectués entre 1993 et 2010, ce livre analyse la façon dont cette société pastorale se pense, occupe et définit ce qu’elle nomme son « pays » : un espace aux frontières floues, centré sur un monastère bouddhiste et ancré par des montagnes, palais de divinités protectrices.
Au fil des pages se dessine l’histoire d’éleveurs nomades qui ne l’ont pas toujours été et, bientôt, ne le seront plus. En effet, cette petite société n’est pas saisie en dehors du temps dans une permanence qui confinerait à l’éternité. Elle vit et se transforme. En quinze ans, elle a perdu plus de quatre-vingts pour cent de sa population qui, désireuse de bénéficier des facilités du monde moderne, est descendue s’installer près de la ville de Leh. Aussi cet ouvrage constitue-t-il, à son corps défendant, le témoignage d’un mode de vie mais aussi de savoirs et de savoir-faire en train de disparaître.