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A piedi nudi attraverso la Mauritania
Puigaudeau Odette de

Editeur - Casa editrice

CDA & Vivalda

Africa Occidentale
Sahara
Mauritania

Città - Town - Ville

Torino

Anno - Date de Parution

2004

Pagine - Pages

240

Titolo originale

Pieds nus à travers la Mauritanie, 1933-1934 (pubbl. 1936)

Lingua - language - langue

italiano

Edizione - Collana

Le tracce

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Pieds nus à travers la Mauritanie, 1933-1934 (originale 1936)
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Pieds nus à travers la Mauritanie, 1933-1934

A piedi nudi attraverso la Mauritania  

Nella sezione Sahara della mia "libreria on line" avevo già segnalato gli scritti di Odette de Puigaudeau e la recente ristampa in Francia di "Pieds nus à travers la Mauritanie, 1933-1934" e suggerivo di perdersi nella sabbia della Mauritania seguendo Odette e la sua amica sbarcate a Port-Étienne (oggi Nouadibhou) nel 1933.
CDA-Vivalda propone ora la traduzione italiana di questa vicenda che vede protagoniste due ragazze alla migliore borghesia bretone. Senza alcun incarico ufficiale né sovvenzioni, con pochi soldi e un bagaglio ridotto all'essenziale, percorrono migliaia di chilometri a dorso di cammello su piste sconosciute, in un paese poverissimo, tra mille pericoli, condividendo l'esistenza precaria dei nomadi e guadagnandosi la loro stima e una perenne amicizia.
Credo che questa sia la prima traduzione in italiano )non ho trovato traccia di traduzioni precedenti) e restituisce al pubblico l'immagine ormai perduta di un deserto non ancora dissacrato dalle orde dell'avventura di massa, ma visto come l'ultimo rifugio della bellezza e della libertà.

 

Consulta anche: Una biografia: "Odette du Puigaudeau : une Bretonne au désert"

Recensione in altra lingua (Français):

Mauritanie 1933. Deux jeunes femmes du meilleur monde, parties à bord d’un langoustier breton à voiles rousses, se laissent volontairement débarquer sur la grève de Port-Étienne (aujourd’hui Nouadibhou) pour se perdre dans les sables. Ni mission officielle, ni subventions, peu d’argent, presque aucun bagage : les voilà qui se lancent à dos de chameau sur des pistes inconnues (elles parcourront de la sorte plusieurs milliers de kilomètres), dans une contrée où les militaires français eux-mêmes osaient à peine patrouiller. Ces vastes solitudes mal pacifiées étaient pour l’essentiel au pouvoir des pillards locaux, guerriers ombrageux qui n’acceptaient de vivre qu’à la fortune de leurs rezzou – et qui avaient la réputation d’occire sans un mot d’explication les étrangers assez fous pour s’aventurer sur leurs terres. Contre toute attente, ils offriront aux deux téméraires l’accueil réservé aux braves, et lieront bientôt avec elles les liens de la plus étroite amitié.
Un classique de la littérature du désert porté aux nues par Théodore Monod. Et la révélation d’un des meilleurs écrivains-voyageurs du siècle qui vient de s’achever.

Consulta anche: Una biografia: "Odette du Puigaudeau : une Bretonne au désert"